Loos-en-Gohelle

Présentation

Loos-en-Gohelle, commune française du département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France, a une histoire étroitement liée à l'exploitation minière, en tant que l'une des principales communes minières du bassin minier du Nord-Pas-de-Calais. Située dans l'ancien bassin minier, la ville est caractérisée par ses deux plus hauts terrils houillers d'Europe. Elle abrite une Zone Naturelle d'Intérêt Écologique, Faunistique et Floristique comprenant les terrils jumeaux no 11-19, avec une diversité de faune et de flore remarquable. La commune, essentiellement résidentielle, se compose principalement de petites maisons individuelles anciennes, témoignant de son passé minier, et son occupation des sols reflète une combinaison de territoires agricoles, zones urbanisées, et vestiges industriels.

Wikipédia : Loos-en-Gohelle — Wikipédia (wikipedia.org)

Exemples d'actions

Sources : A Loos-en-Gohelle, le maire et les citoyens mobilisés pour la transition énergétique (lemonde.fr)

Exemples d'actions mobilisées sur le territoire de Loos-en-Gohelle :

• Bassin minier inscrit sur la liste du Patrimoine mondial de l’Unesco ;
• Création une société sous la forme d’une SAS pour équiper les toitures de la ville de panneaux solaires ;
• La Ville compte chaque année sur les agriculteurs, leurs machines et leurs bennes pour rénover les chemins ruraux ;
• La gérante de la supérette du centre-ville a fait voter ses clients pour savoir ce qu’ils voulaient comme aliments dans le nouveau rayon réservé au vrac ;
• La façade sud du toit de l’église Saint-Vaast couverte de panneaux photovoltaïques totalisant une production équivalant à la consommation annuelle de 69 ménages (177 700 kWh par an) ;
• Les maisons à haute performance énergétique ;
• Les logements sociaux écoconstruits ;
• Les 50 000 litres d’eau récupérés annuellement pour alimenter des sanitaires, le nettoyage du matériel ou l’entretien des espaces verts ;
• La ceinture verte de 15 kilomètres, aménagée sur des parcelles marquant les limites de l’urbanisation ;
• Le « corridor biologique » – « nécessaire au déplacement de la faune » – enjambant l’autoroute A21 ;